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Le parc du Clos du Moine
Le parc du Clos du Moine assure la liaison entre les zones d’activités économiques et les habitations. Au centre du parc se trouve un pyracantha également appelé « buisson ardent » reconnaissable par ses baies rouges, faisant le bonheur des oiseaux. Vous pourrez également retrouver des tilleuls et un érable champêtre, arbres caractéristiques de la Région Centre- Val de Loire. Les arbres le long des habitations peuvent accueillir du gui. Cette plante souvent associée à Noël était convoitée par les druides pour ses vertus médicinales. Mais attention ! Certaines espèces de gui sont aussi toxiques.
La rue des Petits Osiers
Le retour de la nature en ville est un enjeu majeur dans l’aménagement des voiries. La rue des Petits Osiers a été pensée de façon à accompagner la voie circulée de parterres venant végétaliser les trottoirs. Cette végétalisation permet dans un premier temps d’apporter de l’esthétisme à cette rue rejoignant la zone d’activité. Dans un second temps, cet aménagement a été pensé de façon à absorber les eaux pluviales, évitant ainsi la saturation des réseaux ou les inondations de chaussée. Il est choisi de laisser ces espaces « se réensauvager » afin de permettre aux insectes butineurs de bénéficier de la flore sauvage locale.
Les serres municipales
Au sein des cinq serres de la commune, le service municipal des Espaces Verts produit de multiples variétés de plantes. Les agents travaillent à la production d’arbres fruitiers, de cactus, de plantes aromatiques et des traditionnelles fleurs d’ornement. Les serres chauffées au minimum à 21°C permettent de faire pousser des boutures ou semis afin de perpétuer les plants existants. Les plants sont ensuite mis en pot, installés sur des murs végétaux ou directement dans les parterres. Les plantes quittent les serres pour embellir la ville et pour agrémenter la salle des mariages.
Le parc Jean Friess
Dans ce jardin intimiste, tapis de lierre à l’image des forêts environnant la ville, différentes essences d’arbres cohabitent. A l’entrée, un tulipier vous accueille ; longeant la place centrale du parc, vous apercevrez un arbre de Judée qui se pare de fleurs roses au printemps. En prenant le chemin sur votre gauche, vous pourrez observer des nichoirs à chauve-souris installés sur les troncs avant d’arriver devant un majestueux marronnier d’Inde. Sur le chemin de droite, vous trouverez des outils agricoles traditionnels qui étaient utilisés dans les vergers.
Les jardins de la Grande Pièce
La ville dispose de jardins familiaux dans différents quartiers. Ces jardins sont loués aux Stéoruellans afin que ceux-ci puissent profiter d’un espace pour jardiner et le partager avec les autres jardiniers. Certains principes sont à respecter. Les jardiniers doivent prendre soin de leur parcelle dans le respect du zéro pesticide. Chaque jardin dispose d’un composteur. Cela permet de récupérer les déchets verts et de les transformer, par l’action de champignons microscopiques, des bactéries ou des insectes. Les déchets verts peuvent également servir pour faire des paillis qui limitent la pousse des mauvaises herbes. Les jardiniers peuvent enfin installer un récupérateur d’eau afin d’arroser leurs cultures avec l’eau de pluie.
Les jardins René Cassin
Le site des jardins familiaux René Cassin regroupe deux parcelles. Ils communiquent avec les jardins de la Grande Pièce par de nombreuses venelles à l’arrière des constructions. Ces venelles mènent à une plaine où vous pourrez contempler deux essences de cèdres : le cèdre de l’Atlas et le cèdre de l’Himalaya. Il est possible de les différencier par la couleur de leurs épines. Le premier prend une teinte bleutée alors que le deuxième est vert. Vous pourrez également croiser un marronnier rose, qui à la différence du marronnier blanc, ne produit pas de fruits.
Le parc des Dominicaines
Le parc des Dominicaines était autrefois rattaché à l’espace boisé du couvent des Petites Soeurs Dominicaines qui se trouvait entre l’actuel parc et la mairie. Il garde aujourd’hui un héritage de cet espace boisé par la conservation des marronniers. Les variétés d’essences ont été développées par l’accueil d’une charmille, reconnaissable à son tronc cannelé ou d’un acacia rose. En haut de différents arbres vous pourrez observer des écopièges afin de protéger les arbres des chenilles processionnaires. Les mésanges sont un autre allié face à ces nuisibles qui constituent une composante de leur alimentation.
Le centre technique municipal
Le centre technique municipal assure la transition entre la zone urbaine du quartier des Chaises et le futur éco-quartier des Groues par un alignement de tilleuls. La structure est un ancien bâtiment industriel dont la façade est quelque peu camouflée par des arbres. Vous apercevrez dans l’enceinte du site des arbres fruitiers permettant d’y récolter des coings, des cerises, du raisin, des pommes ou encore des noix. L’espace d’herbe entre la rue de la Croix Baudu et le bâtiment est destiné à accueillir des plantations d’arbres afin d’apporter de l’ombre aux passagers des transports en commun et
favoriser le développement d’un écosystème.
Les jardins du petit clos des chaises
L’entrée dans ce jardin familial se fait par un chemin menant à un îlot de verdure au centre du lotissement. Vous pourrez observer dans cette poche de verdure un imposant tilleul, connu pour ses propriétés thérapeutiques. Le bois meuble du tilleul peut également servir aux ébénistes car il se modèle facilement. A ses côtés se trouvent un érable Crimson King et un cèdre deodara. Au fond du Petit Clos des Chaises, les parcelles des jardins familiaux viennent fermer cet espace de respiration.
La rue des Diamants
Sur cet espace vert vous pouvez observer un ancien pressoir qui servait aux vignerons lorsque Saint Jean de la Ruelle n’était encore qu’un village. La culture principale était la vigne jusqu’à l’épidémie de phylloxéra qui décima une grande partie des pieds de vigne au XIXème siècle dans toute la France. La ville se tourne alors vers la culture arboricole fruitière en diversifiant les variétés de fruits. La diversification des cultures permet d’être résilient face à des menaces propres à une variété de plants.
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